Le LÄ COLLECTIF & Co
Dessinateurs
LÄ COLLECTIF a pris naissance le 27 mars 2015 à Mons. Ils se sont rencontré aux cours de BD de l’École des Métiers d’Arts du Hainaut, et ont voulu essayer de travailler ensemble.
Au départ , ils étaient 7: Jonathan, Véronique, Martin, Kevin, Pyel, Pierre-Yves et Domenico. Ils ont investi et publié « Jack l’éventreur » , nouvelles imaginaires … et ils se sont vraiment amusé.
Pour des raisons personnelles, Pyel a quitté le groupe. Mais deux autres personnes les ont rejoints : Héloïse et Éric .Ils espèrent sortir prochainement ; « Gueule d’amour »; et retravailler sur une troisième histoire.
A l’occasion de cette exposition de leurs planches et dessins originaux, LÄ Collectif s’est étoffé de plusieurs autres dessinateurs de talent, fréquentant également les Cours de métiers d’Arts du Hainaut.
Héloïse Abrassart dessine depuis qu’elle est toute petite. Elle est sourde de naissance et le dessin est son moyen de communication avec tout le monde. Pas besoin pour les entendants d’apprendre la langue des signes pour comprendre ce qu’elle veut dire, il suffit de regarder ses dessins. Elle adore la bd pour cela.
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Jonathan Croix
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Domenico
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Eric Dutilleux a 47 ans, est enseignant de profession, et dessine depuis tout petit. Après une longue période sans projet précis, il a intégré les cours de dessin et de bd de promotion sociale à Mons. Il y a rencontré les membres de Lä Collectif avec qui il collabore depuis. Dire qu’il aime la bd est un euphémisme…
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Véronique Faveyst est venue au cours de bande dessinée pour s’évader et par curiosité et , depuis, elle ne peux plus se passer de dessiner.
Antonio La Monaca a 21 ans et habite Anderlues. Il a toujours été passionné par les arts depuis le plus jeune âge. Sa passion l’ayant poussé vers l’étude de ceux-ci, il a fait toutes ses années scolaires dans le domaine artistique, pour finalement arriver en BD, l’art à son paroxysme ! Il a toujours aimé avoir une BD dans les mains, elles le faisaient rêver. Il adore raconter, que ce soit par le dessin ou par les textes, et a énormément à raconter ! C’est ainsi qu’il s’est inscrit au cours de BD, avec la motivation d’apprendre de cet art merveilleux et pouvoir raconter, emporter ses futurs lecteurs dans un univers qui ferait rêver ! Un an après, il veut parfaire sa technique, il veut quelque chose de coloré ; c’est alors qu’il prend des cours d’aquarelle et qu’il se découvre une aisance dans celle-ci, sans doute parce qu’elle reflète beaucoup de choses, une œuvre est un miroir pour l’artiste qui la compose, c’était là une occasion de découvrir une part de lui insoupçonnée ! Il a lancé le projet de BD « Edmund et les créatures de la nuit », l’histoire d’un orphelin bourreau des cœurs vivant dans un monde qui subira lentement une descente infernale, un arbre de vie à protéger, un équilibre du monde à restaurer, tout repose sur les épaules d’Edmund et ses amis !
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Webdesigner pour le MI6 Philippe Liénardn’a plus quitté sa Skoda Octavia depuis 1976. Il utilise ses appuis auprès de la reine pour ouvrir le concours de Miss Belgique aux lévriers afghans. Philippe a aussi créé le buzz sur YouTube grâce à ses reprises r’n’b de la chanson des Schtroumpfs.
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Pierre-Yves Mannoury , dit Pym, est élève en rhétorique en art plastique. Il adore dessiner, ce n’est pas très original mais en tout cas Il a aussi une passion pour le KFC.
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Martin Mottoul est dessinateur amateur de bande dessinée et étudiant aux beaux-arts de Tournai. La bd est pour lui un moyen de parler de choses qui le touchent ou qui lui plaisent particulièrement en espérant un jour faire de cette passion un métier…
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Pour Kevin Plissken , dessiner est sa manière de s’évader. Il réalise notamment des portraits en noir et blanc au crayon et des planches de bandes dessinées.
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C’est en 1976 à Mons que Pyel voit le jour … avec déjà un crayon à la main.
Ses premières armes graphiques, il les fait en recopiant inlassablement Astérix, les Schtroumpfs et Maya l’abeille, entre autres.
Le virus est pris et c’est en croquant un peu plus tard les modèles posant aux Beaux-Arts en cours du soir qu’il développe sa technique tout en optant pour la caricature et le style « cartoon » qui ne le quitteront jamais.
Tout en dirigeant à partir de 2005 des ateliers ayant pour objectif l’apprentissage du dessin animé à l’attention des plus jeunes, il s’active à la réalisation de ses propres concepts animés. L’un d’eux, baptisé « Herbes folles » en 2010, deviendra sous forme d’illustrations uniques son univers de prédilection ; « Swing Green ».
Ayant depuis participé à quelques fanzines, il scénarise et dessine des BD dans lesquelles il exploite sans relâche un système narratif hérité de son premier amour : le dessin animé
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La Maison des Employes 